Le kakemono est un support visuel couramment utilisé lors d’événements commerciaux : salon d’exposition, vente privée, vente promotionnelle, etc. Outil de communication à part entière, le kakemono attire le regard et augmente la visibilité. L’efficacité d’un kakemono dépend d’un ensemble de critères comme le design global et les éléments graphiques. Ils participent à créer l’attention et agir sur l’intention des cibles. De nombreux prestataires graphiques réalisent ces produits pour le compte de professionnels souhaitant optimiser sa stratégie communicationnelle. Voici 6 étapes essentielles pour réussir un kakemono dans les règles de l’art.
Respecter le sens de lecture et ajuster le placement du logo
Aussi bien roll-up, le kakemono est un support publicitaire bien connu sur lequel des visuels et contenus écrits sont imprimés. Pour créer un kakemono, il est essentiel de respecter le sens naturel de lecture, c’est-à-dire de haut vers le bas. En ce sens, le logo se place idéalement au sommet du roll-up. L’astuce est de multiplier sans en faire trop les pistes de lectures. Les gens ont tendance à lire en priorité ce qui est au niveau de leur champ de vision, autrement dit, le centre du kakemono. Il faudra s’assurer que l’élément principal y soit présent.
Choisir avec soin les informations et ajuster la typographie
La hiérarchisation et l’organisation sont les gages de réussite d’une création de kakemono. L’objectif est d’arriver à transmettre le message voulu de manière la plus explicite possible. Il faudra placer les textes et visuels de façon harmonieuse pour que les cibles soient vite conquises. Pour capter l’attention du lecteur, les illustrations et la mise en page jouent un rôle important. Il en va de même pour le choix de la typographie. Certains graphistes commettent l’erreur de négliger la topographie et rendent le texte illisible de loin.
Équilibrer les couleurs et adapter les images aux formats du kakemono
La sélection des couleurs est primordiale pour créer un kakemono. Elle génère une émotion et un ressenti chez les cibles de la communication. Le respect des codes couleur permet ainsi aux marques de s’imposer et d’avoir une meilleure reconnaissance. Autrement dit, les multiplications des couleurs perturbent ainsi l’effet voulu. Il faudra se limiter à 2 ou 3 tons de couleur différents. Quant aux images, le format vertical du kakemono limite les possibilités. Pour garantir le rendu et donner la meilleure impression, il faudra éviter d’étirer ses images et opter pour des visuels ajustables : photographies, tableaux, icônes, etc.